Villeneuve de Berg, Louise Bayle, ancienne reporter va visiter Émilie, une amie en fin de vie.

Elle arrive trop tard, la vieille femme est décédée, pourtant dans le fauteuil, une autre vieille dame lui apprend qu’elle s’appelle Minia et qu’elle a été assassinée dans la vallée de l’Ibie.

De cette rencontre, s’enchaîne l’histoire.

L’architecture est solide avec des ramifications nous dévoilant des secrets.

Ces secrets ont-ils été trop lourds à porter pour Minia, jeune adolescente orpheline ?

Le roman est bien ficelé, l’écriture est limpide mais puissante par sa construction. L’auteur garde le suspense avec des rebondissements jusqu’à la dernière page.

Nous voyageons à travers le temps et dans différents pays ou régions.

Les indices sont offerts à Louise au fur et à mesure de ses recherches, elle rencontre les bonnes personnes sans les connaître.

La providence semble semer des indices, Louise souffre t-elle d’hallucinations ou a-t-elle des révélations ?

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Un roman passionnant, une belle écriture, tant de mystères entourent la mort de Minia.

Qui et surtout pourquoi cette jeune adolescente orpheline a-t-elle été tuée ?

Je m’interroge sur mon ressenti inhabituel, j’ai eu tout au long de la lecture une impression de solidité, solidité physique du livre, solidité historique, solidité de l’architecture du roman.