L’histoire

Des aspects de littérature -Feel Good- et des gâteaux de salon de thé mais pas que !

Détrompez-vous, il n’y a pas que de la guimauve dans ce roman.

Rosie est à la tête d’un salon de thé raffiné. Elle peut se féliciter de sa réussite. Ses pâtisseries rivalisent de douceur et son salon de standing.

A la suite d’un accident, Rosie est immobilisée, elle doit laisser les rênes de son affaire à Mauricette et Fernande, deux octogénaires très en forme et riches en couleur.

Mauricette divorcée après une vie sans amour, Eustache, Fernande…

Je m’écroule de rire lorsque je découvre leurs phrases patoisantes, bien ancrées dans les coutumes du Nord.

Beaucoup de régionalisme qui réchauffe et sucre les souvenirs de la -chtie- expatriée que je suis.

Convivialité, bonne humeur dans un salon de thé qui se transforme en bistrot au grand dam de la jeune femme.

Lors de cette convalescence, une boite de souvenirs tombe aux pieds de Rosie, une montre à gousset, une broche et une lettre. Débute alors le récit d’apprentissage de Rosie qui va devoir réviser ses jugements et remettre en question ses accès de colère qu’elle pensait légitimes pour une enfant abandonnée par ses parents.

Après le décès de son époux Émile, Mémé n’a plus supporté et est partie. Léontine s’est volatilisée en lui laissant néanmoins un compte en banque confortable.

La troisième partie verra Rosie à la recherche de sa mémé Léontine.